La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1526)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1525) -
Chapitre 5 : La traite -
- Dorénavant, tu mappartiens et tu tappelleras alexsoumis ... Je ne tai pas reproché de Mappeler, tantôt, Maître car Je savais que tu las dit avec une extrême motivation et que jétais certain que cela soit ta véritable destinée dêtre à Mes pieds. Mais maintenant, cest avec Mon consentement et Mon exigence que tu dois Mappeler ainsi, Maître
alexsoumis ! Je portais dorénavant ce nom ! Alex avait disparu pour laisser place à alexsoumis ! Et je me surprenais moi-même à trouver ce fait, finalement évident, normal. Jen étais nullement choqué, bien au contraire
alexsoumis ! Oui, cest ce que jétais devenu un soumis, et aussi naturellement à ne plus men étonner, à bien y réfléchir
Il ny avait plus aucun bruit dans cet immense parc, hormis la stridulation des grillons sen donnant à cur joie dans le gazon, la nuit allait tomber sous peu et sous la probable douceur nocturne dun clair de lune estival. Jétais là, toujours nu, face au sol, fesses relevées, anus exhibé et humide, sur ce perron à attendre. A attendre quoi précisément ? Je nen savais strictement rien. Monsieur le Marquis mavait dit de rester ainsi, sans bouger, autant de temps quil le faudrait, autant de temps quIl lexigerait. Juste avant quIl ne reparte, Il avait ordonné de ses deux belles soumises quelles viennent, chacune leur tour, mhonorer. Je navais pas compris ce terme, elles si. Un seul coup de cravache sur les fesses de celle se tenant sur ma droite avait suffi. Elle sétait déplacée en quadrupédie jusquà derrière moi, sétait placé entre mes jambes largement écartées, et était venu poser, sans une once dhésitation, sa bouche sur mon anus. Elle mavait léché méthodiquement, cherchant même à introduire sa langue dans mon intimité. La seconde soumise avait agi de la même manière, pénétrant son appendice buccal le plus loin possible en moi.
Troublé, je létais encore
moi qui navais jamais eu de relations intimes avec une femme ! Me faire lécher ainsi, dehors, au coucher du soleil, dans une posture de dépravation
par deux femmes... Je nen revenais pas
Les femmes aussi belles soient-elles ne mattiraient pas. Ce nétait pas mon truc. Seuls les hommes, les garçons avaient mes faveurs. Jétais homosexuel depuis ma puberté et massumait ainsi. Mes parents, eux aussi, avait accepté mon orientation sexuelle sans aucun problème. Aujourdhui, j'en comprenais les raisons et je savais pourquoi
eux qui avaient séjourné plusieurs années ici, ils avaient dû en voir en et en entendre de toutes les couleurs ! Les deux soumises rentraient en quadrupédie à lintérieur du Château me laissant seul
La nuit était claire, la fraîcheur tombait, les crampes, elles, sétaient installées dans mon corps depuis longtemps, dabord dans mes bras et jambes puis avaient investi lensemble de mes muscles, jusquà ceux que jignorais encore. Jen tremblais, étais au bord de craquer, quand jentendis :
- Cest bien le chien, tu es courageux et résistant, nous allons faire de toi, une belle salope, hélait Walter de loin.
Je lentendais venir de derrière moi, ses pas crissant sur les graviers rouges de la cour. Il avançait lentement, comme sil voulait encore me tester quelques secondes de plus
A cet instant, je le maudissais, hargneux je létais, il allait voir ce Majordome de mes deux, ce que jétais capable de faire ! Je serrais les dents et les poings et restais impeccablement immobile. Lui, montait tranquillement les marches du perron, passait près de moi, sans un regard, sans une attention particulière et entrait au Château. « Quel salaud ! » pensais-je
Je mavouais vaincu, le corps trop douloureux, je mécroulais au sol
- Une heure, douze minutes et trente-sept secondes précisément, ce nest pas mal, mais peut mieux faire. Et devra faire beaucoup mieux, sil souhaite être un bon chien dévoué au Maître !
Le Majordome était revenu
juste quelques secondes après que je fus tombé à même le sol, avachi de fatigue musculaire.
- Te voilà chez toi petite salope, voilà cet endroit qui test dédié, la cellule numéro 9. A chaque fois que tu seras convoqué par le Maître, tu viendras ici directement, sans passer par la case perron. La porte dérobée de la cour nest jamais verrouillée et ainsi tu auras toujours accès à cette cellule directement. Tu te foutras à poil dans ta voiture, tu y laisseras tes effets personnels et rejoindra ce lieu directement sans attendre. Tu tenfermeras toi-même dans cette cellule, tu as vu, tu nas quà tirer la lourde grille et celle-ci se verrouille automatiquement. Une fois à lintérieur, tu mettras ton collier, il sera toujours pendu là, à cet endroit et tu attendras que lon daigne venir te chercher. Ah, oui, autre chose
Ce seau, là, en métal, est fait pour recueillir tes déjections. Sur ce
bonne nuit, salope !
Incroyable, jétais dans un monde de pure perversion et de déviance ! Avais-je bien entendu Walter ? Il voulait quen arrivant au Château, à chaque fois que je devrais my rendre, moi seul devait venir menfermer dans cette cellule
Jen comprenais le sens : Un acte fort qui me permettrait à chaque venue ici de renouveler résolument mon engagement, mes vux volontaires et catégoriques de soumission.
Faisait-il jour ? Nuit ? Javais dormi, malgré ces lampes restées éclairées, malgré cette paillasse défoncée. Jentendais gémir, soupirer, souffler, geindre, murmurer. Je soulevais quelque peu la tête pour comprendre ce quil se passait près de moi. Là, deux cellules plus loin, une jeune et belle femme, à lévidence une soumise, puisque nue et avec un collier épais autour du cou, identique au mien, se faisait prendre par un homme que je ne connaissais pas. Lascive, ses cheveux longs et blonds couvraient presque pudiquement ses seins, elle était allongée sur le dos, les jambes relevées, les chevilles posées sur les épaules de celui qui la besognait à grands coups de reins visiblement virils, puissants, profonds.
A peine rendormi, immédiatement réveillé, jétais sorti de ma paillasse avec perte et fracas. Walter tenait fermement mon collier et mentrainait hors de la cellule en mobligeant à marcher courbé, plié en deux, alors que javais le dos en compote. A plusieurs reprises, je trébuchais, mais avec sa poigne, le Majordome me retenait, tout en me conduisant dun bon pas à létage supérieur par un dédale de couloirs et portes. Enfin arrivés, jétais installé et me retrouvais vite fait, bien fait, en levrette, ventre en appui sur le sol relevé dune petite marche, bras et mains entravées, jambes attachées et maintenues largement écartées, anus exposé, sexe enfin libéré avec ma cage que le Majordome môtait !
- Monsieur le Marquis, la salope est prête, pensez-vous quil faille réellement lui purger les couilles ? Celles-ci ne me semblent pas vraiment pleines, faisait remarquer Walter en tâtant et malaxant douloureusement mon scrotum.
Le Noble était là, simplement vêtu dun peignoir en soie, pieds nus, sans un mot, Il me caressait le postérieur, Ses doigts inquisiteurs frôlant mon entrée anale. Jen frissonnais déjà.
- Je veux que nous prenions notre temps Walter, je veux que ce chien soumis apprenne plusieurs choses : Dabord se contenir, ensuite quil sache ce que jouir du cul veut dire, enfin quil se libère de tout préjugé en se donnant comme une lope doit le faire. Si tout ça est concluant, si toutes Mes exigences sont parfaitement respectées alors nous lui purgerons les couilles et le viderons pour soulager sa prostate. Les chiens soumis, comme les chiennes soumises dailleurs, savent que tout orgasme se mérite ici. Lui aussi doit comprendre ça, puisque désormais, il est entré, par sa seule volonté, à Mon service, sous Mon Joug !
Je sursautais déjà, quelque chose de froid, un liquide visqueux tombait sur mes fesses. Walter étalait ce gel lubrifiant sur mes lobes. Il recommençait à plusieurs reprises, un massage un peu rude, avec un doigt épais, qui venait régulièrement caresser mon anneau sans jamais le pénétrer. Avec méthode et du gel en abondance, son pouce, appuyait sur ma corolle flétrie, sa main glissait dans ma raie anale pour descendre sur mes testicules et mon sexe bandé quil caressait et branlait doucement. Déjà je soupirais dextase, de plaisir, oui un plaisir intense qui était maintenant au rendez-vous, avec une envie de jouir pressante. De sa main gauche, il maintenait ma verge en arrière juste par mon gland décalotté et continuait à me caresser les fesses de son autre main, celle-ci glissait sur mon périnée et mes testicules, son pouce passant régulièrement sur mon trou. Je me sentais, non pas chien, mais chienne, avec un besoin pressant de sentir ce doigt me pénétrer. Mais non, lui continuait ce massage pendant de longues minutes encore, sans se préoccuper de mes souhaits les plus lubriques dêtre sailli bestialement, là, sauvagement même ! Mes souhaits étaient enfin exhaussés, enfin, disons en ce qui concerne ressentir au moins juste quelques chose dans mon cul, quand son pouce entrait en moi. Je me cabrais, tremblais de tout mon être et geignais, un râle sorti de nulle part, je ne métais jamais entendu agoniser de désir ainsi. Son doigt tournoyait en moi, contraignait mon anus à souvrir, à se dilater, alors que ma verge était délicatement branlée.
- Cette grosse salope semble apprécier !, lançait le Maître resté jusquici silencieux mais ne perdant pas une miette du spectacle que je Lui offrais.
Le Châtelain mentendait soupirer, me voyait me dandiner, me déhancher. Était-ce doigt qui tournoyait en mon trou, ou moi qui ondulait autour de ce doigt ? Je perdais tout repère, happé par des sensations extraordinaires jamais vécues. Walter venait de pousser en moi, un petit objet conique et dès que celui-ci me pénétrait de toute sa longueur, il posait sur la base de ce plug, un stimulateur à tête flexible et rotative quil actionnait. Les vibrations engendrées étaient tout simplement démoniaques et diaboliques, jen perdais la raison. Je râlais tant et plus, tentais de me cabrer, tremblais de tout mon corps, telle cette chienne en chaleur sommeillant en moi, alors quune main astiquait toujours lentement ma nouille gluante et bandée à lextrême.
- Ne jouis pas salope, tu ne pourras le faire que lorsque le Maître laura décidé !, mordonnait Walter sur un ton sévère.
Comment faisais-je pour tenir ?
quand les vibrations étaient tellement infernales sur ce second plug quon venait de me poser jusquà la garde, plus gros que le précédent, envoyant des ondes de choc dans mes entrailles et plus précisément sur ma prostate.
- Voyez Monsieur le Marquis, il souvre parfaitement bien, son cul se dilate sans une once de difficulté, il vient davaler ce second plug, pourtant dune bonne dimension, sans aucun problème. Visiblement, son trou de pute à lhabitude de se faire prendre
La saillie anale ne sera quune formalité, si vous décidez de prendre Votre chien soumis !
- Parfait, mon bon Walter, nous allons vérifier cela !, lui répondait le Noble.
On marrachait alors ce second plug, Monsieur le Marquis se positionnait derrière moi, me maintenait fermement par les hanches et me plantait dun coup sec Son Membre terriblement déjà tendu, long et épais, ce qui me faisait dire que le traitement quavait appliqué le Majordome sous Ses yeux avait terriblement excité le Châtelain.
- Oh putain !, osais-je articuler, sans contrôler mes dires.
- Oui, tu nes quune putain, quune chienne à démonter, à enculer, à baiser, reprenait le Noble en me claquant le cul dune volée de fessées cinglantes.
Alors que le Maître me sodomisait bestialement tel un mâle en rut, Walter me passait autour de la verge un objet à tête flexible qui venait enserrer mon pénis à laide de ses deux rabats et le mettait immédiatement en action
. Terrible, cétait simplement apocalyptique
- Je
je vais
- Non pas encore, ne jouit pas tout de suite, la pute, laisse-moi tensemencer et seulement après tu jouiras !, mordonnait le Maître.
Je nallais pas pouvoir tenir longtemps, ces virils coups de butoir irradiaient mon être tout entier, je jouissais du cul, jen comprenais maintenant le sens. Cette machine infernale et vibrante sur mon sexe me rendait comme fou. Le Maître me saisissant toujours par les hanches, poussait violemment, me labourait les entrailles, ces testicules claquaient contre les miennes, tout en me traitant de mille appellations des plus humiliantes, jusquà cet instant où il se figeait et giclait plusieurs fois, une quantité importante de flots saccadés de sperme en mes entrailles, en gémissant et envoyant des râles orgasmiques sans retenues, bruyamment. Puis il resta planté en moi, quelques secondes en un coït anal, parfaitement immobile
- Voilà, tu es définitivement à Moi maintenant, vas-y jouis et braille comme une lope doit le faire lorsquelle éjacule, la pute.
Walter accélérait les vibrations sur mon sexe, quelques secondes après, par spasmes successifs, je giclais en envoyant mon foutre sur le sol, sans contenir mes cris libérateurs de chienne en chaleur !
- Détache-le Walter, je veux le voir laper ses souillures !
Alors toujours en levrette, tel un chien, je me mis à lécher mon propre sperme avec dévotion, noccultant aucune goutte tombé au sol, puis le Maître reposait Lui-Même la cage de chasteté sur mon sexe maintenant flasque et sen allait rejoindre Ses appartements, sans un autre regard pour moi. Il me laissait là avec Walter, qui me raccompagnait jusque ma cellule. Il môtait le collier, le rangeait à lendroit où il devait être et me laissait repartir en me disant :
- Tu retrouveras tes effets personnels dans ta voiture, Tâche de garder en toi la divine et sacrée Semence de Monsieur le Marquis, laisse-là se diffuser dans ton corps mais aussi dans ta tête de chien soumis, ainsi tu vibreras, chien soumis.
Je traversais limmense cour gravillonnée, nu, le cul bien ouvert et poisseux par ce gel lubrifiant, et qui dégoulinait un peu du trop-plein de sperme, puis jenfilais short et tongs, et je repartais fébrile mais les couilles vidées, en direction de la Bastide
(A suivre
)
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